dimanche 25 avril 2010

vendredi 16 avril 2010

Vendredi. Freitag.


Du tabac dans les poches, le coeur lourd et de la fumée dans ma tête. Supporter encore une rentrée de plus. Affaiblie de tout cela, je prends mon sac à dos, et m'en vais marcher. Là où l'on veut bien me mener. Trois mois, three months, drei Monate, tri mesiatsih.
Photographie : Un jour de beau au Guilvinec, un grand-père et son petit fils.



I got CHILLS.




Euphorie temporaire.

Love you, honey.










Love you, honey .

mardi 13 avril 2010

Coco avant Chanel.



Une petite fille du centre de la France, placée dans un orphelinat avec sa soeur, et qui attend en vain tous les dimanches que son père vienne les chercher. Une chanteuse de beuglant à la voix trop faible, qui affronte un public de soldats éméchés. Une petite couturière destinée à refaire des ourlets dans l’arrière-boutique d’un tailleur de province. Une apprentie-courtisane au corps trop maigre, qui trouve refuge chez son protecteur Etienne Balsan, parmi les cocottes et les fêtards. Une amoureuse qui sait qu’elle ne sera « la femme de personne », pas même celle de Boy Capel, l’homme qui pourtant l’aimait aussi. Une rebelle que les conventions de l’époque empêchent de respirer, et qui s’habille avec les chemises de ses amants. C’est l’histoire de Coco Chanel, qui incarna la femme moderne avant de l’inventer.

lundi 12 avril 2010

Mort du président polonais, Lech Kaczynski.



Deux jours après le drame, la Pologne est toujours en état de choc. Elle pleure son président Lech Kaczynski, mort dans un accident d'avion samedi en Russie qui a coûté la vie à 96 personnes. Pour préserver sa mère de 83 ans, gravement malade, Jaroslaw Kaczynski, l'inséparable frère jumeau du dirigeant n’a pas souhaité l’informer du décès de son fils. La vieille femme a été admise aux soins intensifs à la mi-mars pour des problèmes cardiaques.

vendredi 9 avril 2010

Métronome permanent dans ma poitrine toute à toi, cet organe ensanglanté qui rythme mes souffles

J'ai enfin mes bretelles :D !

samedi 3 avril 2010

Noir sur Blanc. Françoise Hardy.



Noir sur blanc, j'écris mes maux, les nerfs à cran
Sans garde-fou ni faux-semblants, de but en blanc, trop souvent
Blanc ou noir, peut-être qu'il n'est pas trop tard
Pour sortir de ma tour d'ivoire ? Si vous passez sans me voir

La peine vaudrait bien le prix de ce dernier détour
Tant pis pour tous les non-dits, les appels au secours
Lancés dans la nuit et tombant dans l'oreille d'un sourd
Si à votre cou, je peux me pendre haut et court

Nous laiss'rons en blanc les sujets un peu trop brûlants
Qui pourraient me glacer le sang, vous faire partir en courant
Seul point noir, si vous n'aimez pas les regards
Qui vous transpercent de part en part, vais-je passer sans vous voir ?

La peine vaudrait bien le prix de ce dernier amour
Je paierais comptant les cris, les appels au secours
Lancés dans la nuit et tombant dans l'oreille d'un sourd
Si à mon cou, vous veniez vous pendre haut et court
Viendrez-vous ? Sachez que tout ne tient qu'à vous, viendrez-vous ?

La peine vaudrait bien le prix, je n'ferais pas demi-tour
Garderais pour moi les cris, les appels au secours
Viendrez-vous ? Sachez que tout ne tient qu'à vous, viendrez-vous ?

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